Des vignerons des pays de la Loire s'investissent dans l'agro-homéopathie
L’agro-homéopathie c’est l’utilisation de l’homéopathie sur les plantes. Pour lutter contre les parasites et les maladies, intervenir sur des dommages liés à la météo ou toute cause de traumatisme, l’homéopathie est une alternative sans effet indésirable sur l’environnement, sans danger pour l’homme, et économique.
La Coordination AgroBiologique des Pays de Loire a réalisé en 2019 un cahier technique « Homéo-Iso-Viti Bio » présentant les résultats du programme de recherche participative du même nom. Entre 2015 et 2019, des expérimentations ont été menées chez 5 vignerons biodynamiques en Pays de Loire, afin de répondre aux trois questions suivantes : L’homéopathie couplée à de l’isothérapie (Mildiou) ou à des poivres (Cochylis et Cigarier) permettent-ils de renforcer le programme de traitement habituel du domaine ? Les apports au sol renforcent-ils la résistance naturelle de la vigne aux pathogènes observés ? Peut-on envisager l’homéopathie, l’isothérapie et les poivres comme des alternatives pour baisser les doses de cuivre et d’insecticide ?
Pour aller plus loin, consultez l’article sur le site produire-bio.fr :
https://www.produire-bio.fr/articles-pratiques/resultats-de-lexperimentation-homeo-iso-viti-bio/
Des formations sont dispensées aux agriculteurs un peu partout en France comme agrilearn ou l’APPMH par, entre autres, Abdelaziz Yaacoubi, ingénieur agronome et Cornélia Maute, coauteur avec sa mère Christiane Maute du livre ; Homéopathie pour les plantes, un guide pratique pour les soins des plantes d’ornement, du potager et du verger



Des recherches effectuées par des vétérinaires dans un parc zoologique brésilien ont montré que l'échinacea homéopathique et l'Avena sativa réduisaient les signes de stress immunologique chez les paires de manchots reproducteurs comparativement au placebo.
S’il est communément admis que la consommation d’alcool ou de tabac est dangereuse pendant la grossesse, il n’en est pas toujours de même pour la prise de médicaments pendant cette période. Les femmes enceintes s’estiment d’ailleurs insuffisamment informées par rapport aux risques liés à la prise de médicaments pendant la grossesse, comme le prouve la récente enquête de l’ANSM.